Le Christ déraciné tremble sur le Calvaire. Cette parole impie a besoin d'un pardon; Non, ce mot n'ira pas, furtif et funéraire, Dans ta tombe, o Napoléon!
Peut-être, en dédaignant ce deuil qui t'environne, O grande ombre éblouie à bien d'autres splendeurs! Tu n'as bien retenu, de ces chants qu'on te donne. Que ces seuls mots profanateurs?
Peut-être quand l'orgueil évoque tant de gloire, Tandis qu'avec le Christ tu comptes seul à seul – Les voyant oublier ta plus belle victoire, Tu tressailles dans ton linceul?